FAQ

Quel est mon parcours?

Après avoir terminé des études de langue, j’ai vite senti que quelque chose clochait.

J’ai alors entamé une psychanalyse, dont je garde des souvenirs précis et émus. Le lieu, la voix de l’analyste, son sourire, son soutien. La psychanalyse m’a sauvé la vie.

J’’ai rapidement décidé de reprendre des études de psychologie, bravant un interdit maternel. J’ai quitté mon emploi de fonctionnaire et j’ai passé mon Diplôme Universitaire en addictologie. Ensuite, j’ai effectué mes 5 ans d’université jusqu’à obtention de mon diplôme de psychologue clinicien, spécialité adultes.



Quelle est ma formation en psychologie ?

Diplôme d’Etudes Supérieures en Addictologie + Master 2 Pro (ancien DESS) en psychopathologie psychanalytique.

Tout au long de ce cursus universitaire, j’ai travaillé avec des usagers de drogues dures, des personnes âgées en Centre Alzheimer fermé, puis avec des 0-3 ans en lieu d’accueil parents-enfants, pour finir par des adultes psychotiques dans un hôpital de jour.

Autant dire que j’ai côtoyé tous les âges de la vie, leurs questions, leurs angoisses et leurs limites. C’était un choix dès le début.



Quels sont mes repères et mes influences ?

Tout au long de mes études, j’ai étudié les textes des pères de la psychologie, j’ai nommé Sigmund Freud et Jacques Lacan. Cependant, il existe bien d’autres penseurs de la psychologie et de la psychanalyse tout à fait sérieux, honnêtes et créatifs. Ils créent de la théorie sur laquelle je peux me baser. C’est donc plutôt avec eux que mes repères se consolident. Je pense à Sophie de Mijolla-Mellor, Sylvie Le Poulichet, Joyce McDougall, Alice Miller, Paul B. Preciado, Anne Dufourmantelle, Sophie Mendelsohn, Winnicott, Eiguer… 



Quelle est ma déontologie ?

1/ Je suis supervisé: je consulte un collègue expérimenté toutes les semaines. Je participe aussi à un groupe d’intervision. C’est pour moi un prérequis absolu.

Cela permet de prendre de la hauteur (on se sent parfois noyé dans les problématiques des patients) et cela me permet aussi de ne pas oublier ce que cela fait que d’être le patient de quelqu’un ! S’il est bien un genre de psy que je n’aime pas, c’est celui qui sait tout et n’a “pas besoin de revenir en analyse”. C’est à mon avis un très mauvais signe sur la qualité de sa pratique.

2/ Je ne force personne à suivre une thérapie et toute décision concernant la thérapie est prise en concertation éclairée avec le.la patient.e

3/ Je me réfère au code de déontologie des psychologues où tout est détaillé. C’est un cadre indispensable pour exercer ce métier dans les meilleures conditions.

Peut-on faire une thérapie par visio ?

Absolument. Bien entendu, rien ne remplace le cadre du bon vieux cabinet en face à face, mais la visio, si elle est bien maîtrisée, permet aussi de mener à bien une thérapie. Cela nécessite cependant d’avoir un lieu sécure et intime lors des connexions, afin de se sentir le plus libre possible.

Combien de temps dure une séance ?

Il faut compter 45 minutes pour une séance de thérapie et 1h pour une séance d’écriture thérapeutique.

Où se situe mon cabinet ?

Depuis septembre 2022, je me suis installé dans la jolie ville de Varzy (58210).

Mon cabinet est situé au 38, rue Delangle, dans des locaux qui furent jadis une maison de la presse, puis une auto-école. Une salle d’attente vous permet de patienter, en toute confidentialité. Les locaux sont aux normes PMR.



Peut-on être supervisé par moi ?

Absolument. Avec 15 années d’expérience en psychologie et en psychanalyse, je peux proposer un cadre bienveillant et aidant pour tout psychopraticien en recherche de supervision éclairée. Il ne s’agira jamais de juger le travail mais plutôt de chercher à le rendre toujours meilleur, authentique, dans l’optique d’aider les patients à aller mieux.



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